Le téton de Babet est plus blanc que l’albâtre ;
Pour être ferme et rond il n’a point de pareil ;
On ne peut sans amour voir son bouton vermeil,
Faut-il donc s’étonner si j’en suis idolâtre !
Quand j’y porte la main de son consentement
Rien ne peut être égal à mon contentement,
Je suis ravi d’avoir ce charmant privilège,
Mais quand elle s’oppose à mon ardent dessein,
O Babet ! ô friponne, aussitôt, m’écriais-je,
Vous faites bien la fière avec votre beau sein,
Ah ! vraiment votre sein est un beau sein de neige.
Pour être ferme et rond il n’a point de pareil ;
On ne peut sans amour voir son bouton vermeil,
Faut-il donc s’étonner si j’en suis idolâtre !
Quand j’y porte la main de son consentement
Rien ne peut être égal à mon contentement,
Je suis ravi d’avoir ce charmant privilège,
Mais quand elle s’oppose à mon ardent dessein,
O Babet ! ô friponne, aussitôt, m’écriais-je,
Vous faites bien la fière avec votre beau sein,
Ah ! vraiment votre sein est un beau sein de neige.
cité in Nouveau mélange de pièces curieuses, tant en prose qu’en vers (A. de Sommaville, 1664)