Si l'androgynie te lasse
(Que chaqu'une reste à sa place!)
Revient vers celles qui dépassent
Si les entre deux t'indifférent
Si les vrais femmes te sont chères
(En gros celles que tu préfères!)
Comme amie ou même amante
Aime donc les opulentes
Celles qui montrent de la chair
Si la douceur est débordante
Tu oublieras l'anorexique
Et ses rondeurs microscopiques
Découvre donc les plantureuses
(Jamais sans faim toujours heureuses!)
Leur cuisse souple est conquérante
Leur fesse ronde est si marante
Leur jour de gloire est arrivé
Celui où l'œil impur se fronce
Devant le féroce qui fonce
Ses armes prêtes à toutes épreuves
L'étendard levé est la preuve
Que vont s'abreuver les sillons
Où jusqu'au bout nous bataillons
Aux armes, etc.
(Que chaqu'une reste à sa place!)
Revient vers celles qui dépassent
Si les entre deux t'indifférent
Si les vrais femmes te sont chères
(En gros celles que tu préfères!)
Comme amie ou même amante
Aime donc les opulentes
Celles qui montrent de la chair
Si la douceur est débordante
Tu oublieras l'anorexique
Et ses rondeurs microscopiques
Découvre donc les plantureuses
(Jamais sans faim toujours heureuses!)
Leur cuisse souple est conquérante
Leur fesse ronde est si marante
Leur jour de gloire est arrivé
Celui où l'œil impur se fronce
Devant le féroce qui fonce
Ses armes prêtes à toutes épreuves
L'étendard levé est la preuve
Que vont s'abreuver les sillons
Où jusqu'au bout nous bataillons
Aux armes, etc.
© André Cayrel
Transmis par l'auteur en 2009.
Transmis par l'auteur en 2009.