Les hommes à pattes de chat
Ébarbaient un précipice ;
Griffe claire, longue cuisse
Et tout le reste en velours
Les hommes à lèvres de chat
Ourlaient l’écume des jours ;
Des musaraignes d’amour
Se laissaient faire dans un fauteuil
Les hommes à fesses de chat
Echangèrent un clin d’œil
Le temps qu’un feu passe au vert,
Le monde était à l’envers
Les hommes à ventres de chat
Labyrinthaient le plaisir
Et sarclaient d’un haut le cœur
L’étincelle du gémir
Ébarbaient un précipice ;
Griffe claire, longue cuisse
Et tout le reste en velours
Les hommes à lèvres de chat
Ourlaient l’écume des jours ;
Des musaraignes d’amour
Se laissaient faire dans un fauteuil
Les hommes à fesses de chat
Echangèrent un clin d’œil
Le temps qu’un feu passe au vert,
Le monde était à l’envers
Les hommes à ventres de chat
Labyrinthaient le plaisir
Et sarclaient d’un haut le cœur
L’étincelle du gémir