Au bord du lit défait où notre ardeur se lasse,
Couches-toi sur le dos et m'ouvre ta culasse
Au centre vermillon,
Les deux jambes en l'air au long de ma poitrine :
Je vais te ramoner de mon écouvillon,
Ma chaude Alexandrine.
Comme dit l'artilleur du refrain folichon,
Ma pine va servir à ton con de bouchon,
Et dans cette posture,
Dont l'aspect enchanteur m'excite et me ravit,
Tu gagneras au jeu, pour combler ta nature,
Plus d'un pouce de vit.
Couches-toi sur le dos et m'ouvre ta culasse
Au centre vermillon,
Les deux jambes en l'air au long de ma poitrine :
Je vais te ramoner de mon écouvillon,
Ma chaude Alexandrine.
Comme dit l'artilleur du refrain folichon,
Ma pine va servir à ton con de bouchon,
Et dans cette posture,
Dont l'aspect enchanteur m'excite et me ravit,
Tu gagneras au jeu, pour combler ta nature,
Plus d'un pouce de vit.
© Louis Perceau
in Au bord du lit (Ed. Érotopolis - à l'Enseigne des Bacchantes, Maurice Duflou - 1927)
in Au bord du lit (Ed. Érotopolis - à l'Enseigne des Bacchantes, Maurice Duflou - 1927)