Si le hasard, Martha, m'avait fait naître femme,
Peut-être aurais-je eu part en tes affections,
Car mes appas offerts et mes séductions
T'auraient vite amenée à couronner ma flamme ;
Alors d'un con goulu, bien humide et béant,
J'aurai gobé cent fois ton clitoris béant
A l'en faire baver d'amour dans sa moustache...
Mais je ne puis t'offrir qu'un vit et deux couillons
Propres à t'inonder de foutre à gros bouillons,
Car je ne voudrais pas te servir de bardache*.
* de l'italien bardascia : jeune-homme efféminé.
© Louis Perceau
in Les Priapés (Ed. Jean Chouard - 1920)
in Les Priapés (Ed. Jean Chouard - 1920)