Viens, blanche sur le divan rouge, viens baiser.
Tes pieds se crispent à la sanglante peluche
Ta vulve d’ambre sera la petite ruche
Où le miel de ma mentule ira s’épuiser
Tu cambres les reins ! Cochonne ! Ah ! tu tends le ventre !
Tu veux la douleur profonde et l’humidité
Brûlante du lent coït qui n’a pas juté
Mais qui remonte et s’enfonce, qui sort et rentre.
Me voici donc. Le divan sourd criera sous nous
Étreins mes reins dans l’étau fort de tes genoux
Accueille en toi mon pénis libidineux, chère,
Et ce sera quelque étreinte à devenir fou
Et ma pine en rut brûlant comme une torchère
Grossira tant que fendre les bords du trou.
Tes pieds se crispent à la sanglante peluche
Ta vulve d’ambre sera la petite ruche
Où le miel de ma mentule ira s’épuiser
Tu cambres les reins ! Cochonne ! Ah ! tu tends le ventre !
Tu veux la douleur profonde et l’humidité
Brûlante du lent coït qui n’a pas juté
Mais qui remonte et s’enfonce, qui sort et rentre.
Me voici donc. Le divan sourd criera sous nous
Étreins mes reins dans l’étau fort de tes genoux
Accueille en toi mon pénis libidineux, chère,
Et ce sera quelque étreinte à devenir fou
Et ma pine en rut brûlant comme une torchère
Grossira tant que fendre les bords du trou.
20 février 91.