Dans l’ombre épaisse
Très bien cachée
Pose ses fesses
Sur un rocher
Elle suçote
Un de ses cinq
Puis se tripote
Le bout des seins
Titille et pince
Ses blancs tétons
Le désir dresse
Ses deux boutons
Sa main triture
Un peu plus fort
Sous la ceinture
Son coffre-fort
Le slip qui moule
Ses longs poils blonds
Gonfle et ondule
Et fait des bonds
C’est un délice
Avec ses mains
Entre ses cuisses
Et sur ses seins
Puis triomphante
Et écartée
L’ humide fente
Est attaquée
Son orifice
Etant bouché
Quel sacrifice
D’y point entrer
Elle se venge
Sur le pistil
Le doigt de l’ange
Rentrera-t-il
Le point sensible
Est vite atteint
C’est une cible
Qu’ell’ connaît bien
Elle se hérisse
Sous son doigt sort
Son clitoris
Comme un ressort
Le chaud liquide
De son plaisir
Coule et débride
Tout son désir
Serrant les cuisses
Très fortement
Pour qu’elle puisse
Feindre l’amant
C’est la sirène
De l’Odyssée
Quand son haleine
Est cadencée
Ceux qui l’ouïssent
Dans son coma
Tout comme Ulysse
S’accrochent aux mats
Ses reins se cambrent
Elle jouit
Ses lèvres vibrent
Elle dit oui
Elle délire
Des cris plaintifs
Elle délivre
Ses doigts captifs
Une fragrance
Très épicée
Désir intense
De tout sucer
Dans sa culotte
Qu’elle a ôtée
Y a toutes sortes
De voluptés
Elle est légère
Déculottée
Vois son derrière
En liberté
Ses fesses parlent
Sur le chemin
Elles appellent
Bien d’autres mains
Folle amoureuse
Elle l’est bien
Et même heureuse
Mais de ses mains
Le soir la vierge
Ne l’était plus
Était-ce un cierge
On ne sait plus
C’était l’histoire
De Manuela
N’allait pas croire
Qu’elle finit là
Si tu désires
Être amant
Tu dois séduire
Manuellement
Très bien cachée
Pose ses fesses
Sur un rocher
Elle suçote
Un de ses cinq
Puis se tripote
Le bout des seins
Titille et pince
Ses blancs tétons
Le désir dresse
Ses deux boutons
Sa main triture
Un peu plus fort
Sous la ceinture
Son coffre-fort
Le slip qui moule
Ses longs poils blonds
Gonfle et ondule
Et fait des bonds
C’est un délice
Avec ses mains
Entre ses cuisses
Et sur ses seins
Puis triomphante
Et écartée
L’ humide fente
Est attaquée
Son orifice
Etant bouché
Quel sacrifice
D’y point entrer
Elle se venge
Sur le pistil
Le doigt de l’ange
Rentrera-t-il
Le point sensible
Est vite atteint
C’est une cible
Qu’ell’ connaît bien
Elle se hérisse
Sous son doigt sort
Son clitoris
Comme un ressort
Le chaud liquide
De son plaisir
Coule et débride
Tout son désir
Serrant les cuisses
Très fortement
Pour qu’elle puisse
Feindre l’amant
C’est la sirène
De l’Odyssée
Quand son haleine
Est cadencée
Ceux qui l’ouïssent
Dans son coma
Tout comme Ulysse
S’accrochent aux mats
Ses reins se cambrent
Elle jouit
Ses lèvres vibrent
Elle dit oui
Elle délire
Des cris plaintifs
Elle délivre
Ses doigts captifs
Une fragrance
Très épicée
Désir intense
De tout sucer
Dans sa culotte
Qu’elle a ôtée
Y a toutes sortes
De voluptés
Elle est légère
Déculottée
Vois son derrière
En liberté
Ses fesses parlent
Sur le chemin
Elles appellent
Bien d’autres mains
Folle amoureuse
Elle l’est bien
Et même heureuse
Mais de ses mains
Le soir la vierge
Ne l’était plus
Était-ce un cierge
On ne sait plus
C’était l’histoire
De Manuela
N’allait pas croire
Qu’elle finit là
Si tu désires
Être amant
Tu dois séduire
Manuellement
© André Cayrel
Transmis par l'auteur en 2007.
Transmis par l'auteur en 2007.