Mon amante adorée
que j’aime à te fourrer
quand dans cette pièce
tu pénètres en deux-pièces
comme tu m’excites
et fait dresser mon vit
qui tire sur son frein
tel un fier chérubin
Ton soutif qui bonde
chacun de tes deux seins
les dressant comme frondes
et en fait des burins
qui gonflent mes désirs
de les vouloir pétrir
tout comme des pelotes
qui s’offrent à mes menottes
Ton string qui s’enfonce
dans la raie de tes fesses
et en avant annonce
mille et une promesses
transparence violée
de ton antre voilée
à l’épaisse toison
qui recouvre ton con
Je n’ai plus qu’une envie
à peine tu dis oui
j’ai le cœur qui tape
vite je te désape
pour mettre à l’unisson
et le con et le fion
t’enfiler et limer
jusqu’à défourailler
que j’aime à te fourrer
quand dans cette pièce
tu pénètres en deux-pièces
comme tu m’excites
et fait dresser mon vit
qui tire sur son frein
tel un fier chérubin
Ton soutif qui bonde
chacun de tes deux seins
les dressant comme frondes
et en fait des burins
qui gonflent mes désirs
de les vouloir pétrir
tout comme des pelotes
qui s’offrent à mes menottes
Ton string qui s’enfonce
dans la raie de tes fesses
et en avant annonce
mille et une promesses
transparence violée
de ton antre voilée
à l’épaisse toison
qui recouvre ton con
Je n’ai plus qu’une envie
à peine tu dis oui
j’ai le cœur qui tape
vite je te désape
pour mettre à l’unisson
et le con et le fion
t’enfiler et limer
jusqu’à défourailler
© Jean-Claude
2013
2013