Tu es ma toute douce aux charmes insolents
Qui résonnent en mon cœur d'une façon extrême
Quand tu es dans mes bras, ton corps affriolant
M'inspire puissamment pour de coquins poèmes.
Quand tu es toute nue, devant moi, magnifique
Tout mal s'efface ici sans laisser nulle trace
Lors je peux écrire mille vers prolifiques
Consacrés à celle que très souvent j'embrasse.
Ne crains pas d'abuser de la force infinie
Que tu détiens en toi par ta beauté exquise.
Il n'est plus grande de joie sur terre qu'en compagnie
Que quelqu'un que l'on aime et que l'on a conquise.
Nous allons nous plonger dans les plus beaux délices :
Ceux que l'on s'offre à deux au secret de la chambre
Mais il faut maintenant que le temps s'abolisse
Tandis que je caresse un doux corps qui se cambre.
Oh ! Par quoi commencer tant il est de splendeur
Tant ta plastique est riche, où l'on voit à foison
Des replis imbibés de sublimes odeurs
De la plante des pieds à la fine toison.
De ce lieu enchanteur menant aux profondeurs
Sexuelles et secrètes, il faut rendre le culte.
Il serait incongru de garder la froideur
Quand de jubilation tout mon esprit exulte.
C'est un sexe de femme ! Le saint des saints d'amour !
Le pelage d'ivresse et la fente d'extase,
Contre toute tristesse un éternel secours
Pli du ravissement pour lequel on s'embrase.
Chacun naquit par là, et c'est incontournable.
On peut certes y mourir d'un plaisir excessif,
Quand le cœur abandonne au rut insoutenable :
L'homme alors fuit le monde à l'instant jouissif.
Permets-moi de t'offrir le plaisir impétueux
Qui surgit dans l'ardeur de ces câlineries
Que l'on fait de la langue aux élans voluptueux
Plongeant entre les cuisses en jolie flânerie.
J'aime tant le parfum de tes parties intimes
Quand, la culotte ôtée, tu écartes la jambes
Je veux y mettre un nez jusqu'à mon heure ultime :
Il n'est trésor plus vrai que ce désir qui flambe.
Voici que je m'abreuve à l'exquise cyprine
Que tu sécrètes quand le plaisir te secoue
C'est la délectation offerte à mes narines
Le jus féminin que j'affectionne beaucoup.
Quand au fond du vagin l'index plonge, coquin
Mouillé de salive pour ne pas te blesser
Tes muscles l'avalent plus gourmands qu'un requin
Qu'il faut doux, mon amour, au creux du gynécée.
Qui résonnent en mon cœur d'une façon extrême
Quand tu es dans mes bras, ton corps affriolant
M'inspire puissamment pour de coquins poèmes.
Quand tu es toute nue, devant moi, magnifique
Tout mal s'efface ici sans laisser nulle trace
Lors je peux écrire mille vers prolifiques
Consacrés à celle que très souvent j'embrasse.
Ne crains pas d'abuser de la force infinie
Que tu détiens en toi par ta beauté exquise.
Il n'est plus grande de joie sur terre qu'en compagnie
Que quelqu'un que l'on aime et que l'on a conquise.
Nous allons nous plonger dans les plus beaux délices :
Ceux que l'on s'offre à deux au secret de la chambre
Mais il faut maintenant que le temps s'abolisse
Tandis que je caresse un doux corps qui se cambre.
Oh ! Par quoi commencer tant il est de splendeur
Tant ta plastique est riche, où l'on voit à foison
Des replis imbibés de sublimes odeurs
De la plante des pieds à la fine toison.
De ce lieu enchanteur menant aux profondeurs
Sexuelles et secrètes, il faut rendre le culte.
Il serait incongru de garder la froideur
Quand de jubilation tout mon esprit exulte.
C'est un sexe de femme ! Le saint des saints d'amour !
Le pelage d'ivresse et la fente d'extase,
Contre toute tristesse un éternel secours
Pli du ravissement pour lequel on s'embrase.
Chacun naquit par là, et c'est incontournable.
On peut certes y mourir d'un plaisir excessif,
Quand le cœur abandonne au rut insoutenable :
L'homme alors fuit le monde à l'instant jouissif.
Permets-moi de t'offrir le plaisir impétueux
Qui surgit dans l'ardeur de ces câlineries
Que l'on fait de la langue aux élans voluptueux
Plongeant entre les cuisses en jolie flânerie.
J'aime tant le parfum de tes parties intimes
Quand, la culotte ôtée, tu écartes la jambes
Je veux y mettre un nez jusqu'à mon heure ultime :
Il n'est trésor plus vrai que ce désir qui flambe.
Voici que je m'abreuve à l'exquise cyprine
Que tu sécrètes quand le plaisir te secoue
C'est la délectation offerte à mes narines
Le jus féminin que j'affectionne beaucoup.
Quand au fond du vagin l'index plonge, coquin
Mouillé de salive pour ne pas te blesser
Tes muscles l'avalent plus gourmands qu'un requin
Qu'il faut doux, mon amour, au creux du gynécée.
© Calpurnia
2015
2015