De ton ventre je sens les exquises odeurs,
J’embrasse la rondeur gracieuse de tes seins ;
Frottant légèrement tes fesses de mes mains,
Je trouve, délirant, tes profondes ardeurs.
Entouré de tes bras, je perçois tes yeux clairs –
Ma bouche ne va pas te faire trop attendre :
Tes jambes sont levées, me priant de descendre
Pour découvrir les goûts intimes de ta chair.
Je frémis du contact amoureux de ta main,
De l’extrême affection que tes lèvres mouillées
Apportent sans réserve à ma partie gonflée
Qui, pour en dire un mot, me rend fort masculin.
La rosée de ta peau me couvre de chaleur,
Ta moiteur me nourrit, augmentant la croissance
De mon membre, qui est dans sa pleine puissance :
Tendrement ton amour me dirige à tes fleurs.
Ton bonheur assuré, sur ton dos je m’étends,
Ayant bien arrosé ton désireux jardin ;
Sous moi tes mouvements me guident au chemin
Par lequel je remplis ton deuxième doux champ.
Après t’avoir versé mon fertile liquide,
Je te vois essoufflée, épuisée, voire soûle :
Aux deux sources d’en bas d’où ma chaude eau s’écoule,
Je me trempe les doigts dans tes courants torrides.
J’embrasse la rondeur gracieuse de tes seins ;
Frottant légèrement tes fesses de mes mains,
Je trouve, délirant, tes profondes ardeurs.
Entouré de tes bras, je perçois tes yeux clairs –
Ma bouche ne va pas te faire trop attendre :
Tes jambes sont levées, me priant de descendre
Pour découvrir les goûts intimes de ta chair.
Je frémis du contact amoureux de ta main,
De l’extrême affection que tes lèvres mouillées
Apportent sans réserve à ma partie gonflée
Qui, pour en dire un mot, me rend fort masculin.
La rosée de ta peau me couvre de chaleur,
Ta moiteur me nourrit, augmentant la croissance
De mon membre, qui est dans sa pleine puissance :
Tendrement ton amour me dirige à tes fleurs.
Ton bonheur assuré, sur ton dos je m’étends,
Ayant bien arrosé ton désireux jardin ;
Sous moi tes mouvements me guident au chemin
Par lequel je remplis ton deuxième doux champ.
Après t’avoir versé mon fertile liquide,
Je te vois essoufflée, épuisée, voire soûle :
Aux deux sources d’en bas d’où ma chaude eau s’écoule,
Je me trempe les doigts dans tes courants torrides.
© Lee Duchesne
- inédit, 2023
- inédit, 2023