Quel bonheur de bander pour une douce amie
Et croire en son cul comme un anthropophage
Cette croyance en moi fait naître le courage
De l’enlever et de l’attacher aux montants du lit
Foin de délicatesses vivent les yeux rougis
Quand déchaînés mes ongles font rage
Sur son corps offert subissant l’orage
De ma bandaison forte de mon infamie
Je la veux ouverte et moi bien plus sévère
Je la mène au sommet de son dur calvaire
Elle jouit elle pleure comme une madeleine
Et davantage encore quand je l’abandonne
« C’est fini mon amie, tu en valais la peine !
Ah quel festin ! Ah comme tu étais bonne ! »
Et croire en son cul comme un anthropophage
Cette croyance en moi fait naître le courage
De l’enlever et de l’attacher aux montants du lit
Foin de délicatesses vivent les yeux rougis
Quand déchaînés mes ongles font rage
Sur son corps offert subissant l’orage
De ma bandaison forte de mon infamie
Je la veux ouverte et moi bien plus sévère
Je la mène au sommet de son dur calvaire
Elle jouit elle pleure comme une madeleine
Et davantage encore quand je l’abandonne
« C’est fini mon amie, tu en valais la peine !
Ah quel festin ! Ah comme tu étais bonne ! »
© Jacques Cauda