Ma Mélanie
A des manies
Souvent au lit
Quand elle lit
Je vois sa mine
Qui s’illumine
C’est sa mimine
Qui la câline
Elle coulisse
Entre ses cuisses
De là s’immisce
Dans l’interstice
Et se lutine
Ah la coquine
À la racine.
Qu’elle est mutine !
Ça la titille
Ça m’émoustille
Sa jambe lisse
Vers moi se hisse,
Mon appendice
Qui se hérisse
Est un indice
De ces prémisses
Que je devine.
Fente divine
Mi-brigandine
Mi-guillotine
Je m’habilite
Tant ça palpite
Grand sybarite
Bernard l’ermite
Pour une nuit.
Alors je suis
Son cucurbite
Telle une truite
Hermaphrodite
Plongeant j’agite
Mon mégalithe
Ce feu suscite
De l’eau de vie
Sur nos pelvis
Une subite
Météorite
Soudain surgit
Tout s’élargit
Et s’obscurcit
Des cris aussi
Sexes indivis
Sens de la vie
Ont remercie
Puis rétrécit
Mais Mélanie
N’a pas finie
Son vis-à-vis
Veut un suivi
On sent le bis
Sur nos pubis…
A des manies
Souvent au lit
Quand elle lit
Je vois sa mine
Qui s’illumine
C’est sa mimine
Qui la câline
Elle coulisse
Entre ses cuisses
De là s’immisce
Dans l’interstice
Et se lutine
Ah la coquine
À la racine.
Qu’elle est mutine !
Ça la titille
Ça m’émoustille
Sa jambe lisse
Vers moi se hisse,
Mon appendice
Qui se hérisse
Est un indice
De ces prémisses
Que je devine.
Fente divine
Mi-brigandine
Mi-guillotine
Je m’habilite
Tant ça palpite
Grand sybarite
Bernard l’ermite
Pour une nuit.
Alors je suis
Son cucurbite
Telle une truite
Hermaphrodite
Plongeant j’agite
Mon mégalithe
Ce feu suscite
De l’eau de vie
Sur nos pelvis
Une subite
Météorite
Soudain surgit
Tout s’élargit
Et s’obscurcit
Des cris aussi
Sexes indivis
Sens de la vie
Ont remercie
Puis rétrécit
Mais Mélanie
N’a pas finie
Son vis-à-vis
Veut un suivi
On sent le bis
Sur nos pubis…
© André Cayrel
Transmis par l'auteur en 2008.
Transmis par l'auteur en 2008.