Au seuil de ce porche
éclairé d’une torche
tu faisais le tapin
aiguisant notre faim

Tu avais enfilé
ce collant très serré
qui te moulait les fesses
attisant notre ivresse

Et tu nous enflammais
de tes deux seins dressés
saillant sous ton maillot
tout comme des joyaux

Tes poses suggestives
et tendrement lascives
rehaussaient tes atours
invitant à l’amour

Et ton pas balancé
qui nous faisait tanguer
usait de l’allumette
de ton casse-noisette

Ton regard aguicheur
embrasait nos ardeurs
quand de ta voix enjouée
tu nous apostrophais

Puis tu nous emmenais
dans un coin en retrait
commencer sans complexe
une partie de sexe