Ô que tu aimes à jouer
d’une humeur enjouée
de ces déguisements
qui sont mes grisements
Ces jarretelles altières
toutes primesautières
qui retiennent tes bas
au cours de nos ébats
Ta culotte de soie
dessinant pour l’émoi
la fente de ta motte
et l’entrée de ta grotte
Cette gaine qui serre
la cambrure de tes reins
qui s’agite soudain
et cause mon enfer
Ce soutif échancré
et qui laisse pointer
tes petits seins dressés
tel un glaive une épée
La douceur veloutée
de tes doux doigts gantés
qui dessinent des orbes
sur mes couilles et mon zob
Ce masque qui dissimule
tes grands yeux langoureux
qui pétillent de feu
quand enfin j’éjacule !
d’une humeur enjouée
de ces déguisements
qui sont mes grisements
Ces jarretelles altières
toutes primesautières
qui retiennent tes bas
au cours de nos ébats
Ta culotte de soie
dessinant pour l’émoi
la fente de ta motte
et l’entrée de ta grotte
Cette gaine qui serre
la cambrure de tes reins
qui s’agite soudain
et cause mon enfer
Ce soutif échancré
et qui laisse pointer
tes petits seins dressés
tel un glaive une épée
La douceur veloutée
de tes doux doigts gantés
qui dessinent des orbes
sur mes couilles et mon zob
Ce masque qui dissimule
tes grands yeux langoureux
qui pétillent de feu
quand enfin j’éjacule !
© Jean-Claude
2013
2013