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À poil à quatre pattes
chute de rein cambrée
les cuisses bien écartées
voilà que tu m’appâtes

Offrant à mon regard
ton sensuel pétard
et ta fente des fesses
qui me met en ivresse

Ce trou du cul fripé
tout rose et tout plissé
et l’abricot fendu
dessous la raie du cul

Lors la verge tendue
je me glisse en ta motte
et à grand coup de bottes
je boute dans ton cul

Dans ce tendre combat
qui te remplit de joie
tu cries et tu t’agites
en me serrant la bite

Je sors et je t’emmanche
et puis tu te déhanches
à déclencher ces spasmes
où nous surprend l’orgasme
© Jean-Claude
2014