Elles lacent leur sensualité dans des frissons de robe.
Il y a les tissus-cuisses,
les tissus-seins,
les tissus-fesses,
les tissus-tailles,
les tissus-hanches,
les tissus-pinces,
les tissus de l’ampleur qui sont l’entrée promise,
il y a les durs tissus-pubis, carénés, ostensibles.
Elles sont l’oecuménisme des foules ;
faites pour être communiés,
conduites entre les glaives,
jugées et condamnées,
souffletées, flagellées,
bardelinées d’épines et cassées sous nos croix.
Elles sont le noir reflux d’une vieille démence.
Les dimanches de la Passion.
Je les crucifie flegmatiquement dans mon oeil.
Il y a les tissus-cuisses,
les tissus-seins,
les tissus-fesses,
les tissus-tailles,
les tissus-hanches,
les tissus-pinces,
les tissus de l’ampleur qui sont l’entrée promise,
il y a les durs tissus-pubis, carénés, ostensibles.
Elles sont l’oecuménisme des foules ;
faites pour être communiés,
conduites entre les glaives,
jugées et condamnées,
souffletées, flagellées,
bardelinées d’épines et cassées sous nos croix.
Elles sont le noir reflux d’une vieille démence.
Les dimanches de la Passion.
Je les crucifie flegmatiquement dans mon oeil.
© Louis Calaferte