De sa bite
qu'on extirpe
et le foutre et la jouissance
Qu'on la branle
Qu'on la suce
qu'elle pénètre dans nos cons
Il vient
Quel torrent de foutre
Tout cède au pouvoir de sa queue
Oh pine jouissez dans mon con
jouissez pour n'en plus jamais sortir
Amour amour amour à mon con
Amour amour amour à ma pine
Et dans ton cul pour ton bonheur
mets la bite de ton Sauveur
À bas ses couilles à bas sa queue à bas son gland
Mort au Seigneur dans tous les culs
Il m'encule le chéri
Branlez ses couilles et pelotez ses fesses
Il m'encule le chéri
Je jouis de tous les côtés
Depuis plus de quatre mille ans
mes fesses l'attendaient
Depuis plus de quatre mille ans
je ne cessais de me branler
Il me décharge sur la gueule
Son foutre m'emplit les narines
Il me décharge sur la gueule
Ah je vais lui manger la pine
Ah qu'il est long et frétillant
Ah que ses couilles sont pesantes
Ah qu'il est long et frétillant
et que rouge est son gland
Vierge Marie
sur qui je pisse
après l'amour
Je vous encule
je vous dévore
comme un cochon
(...)
Pine en démence
vit enculeur
viole viole les garces
du soir au matin
Pelotez mes fesses. C'est pour mon con
que je te branle au pied de cet autel
les cuisses ouvertes et le vagin béant
Je ne sais plus ce que je fais et t'écrase les couilles
Je la foutrai toujours
par-devant ou derrière
Mais Marie se branle
en me disant bonjour
Je la foutrai toujours
c'est ce qu'elle demande
pour se mouiller le con
gémir et crier Encore
Je la foutrai toujours
cette jouisseuse éperdue
Bientôt je l'enculerai
en lui frottant le bouton
(...)
Bénis ô rouge pine
ce jus de tes deux couilles
Nous voulons dieu c'est notre pine
Nous voulons dieu c'est notre con
(...)
Ô verge, ô verge Douce et grande verge
donnez-moi des lèvres donnez-moi des lèvres
qui s'ouvrent pour que je foute
Placez mes couilles placez mes couilles
sur ses deux yeux
Sucez mon gland sucez mon gland
comme le calumet de la paix
Je mangerai ton bouton je mangerai ton bouton
à toutes les sauces
Jouissez toujours jouissez toujours
jusque dans les bénitiers
Nota : (...) = récit en prose entre deux cantiques.
in Les couilles enragées (1928)