Je fouterai sans cesse,
En dépit de maman.
Non, rien ne m'intéresse
Que le vit d'un amant
Quand je sens ses deux couilles,
Je pâme de plaisir,
Et bientôt je m'embrouille,
Son vit me fait mourir.
Maman, dans son jeune âge,
Foutait sans doute aussi;
Et mon père, je gage,
Dut avoir un bon vit.
Il n'est plus de ce monde;
Mais je vois que maman,
Dans sa douleur profonde,
Le voudrait voir vivant.
Je n'ai point de richesse;
Mais mon con, n'est-ce rien?
Mes tétons et mes fesses
M'en procureront bien.
Une pine nerveuse,
Et deux couillons dodus,
Sont pour une fouteuse
Les trésors de Crésus.
Je veux, quoiqu'on en dise,
Foutre jusqu'au tombeau.
Mourir dans cette crise,
Est-il un sort plus beau!
Que sur ma tombe on grave,
Pour toute inscription:
Ici gît le plus brave
Et déterminé con.
En dépit de maman.
Non, rien ne m'intéresse
Que le vit d'un amant
Quand je sens ses deux couilles,
Je pâme de plaisir,
Et bientôt je m'embrouille,
Son vit me fait mourir.
Maman, dans son jeune âge,
Foutait sans doute aussi;
Et mon père, je gage,
Dut avoir un bon vit.
Il n'est plus de ce monde;
Mais je vois que maman,
Dans sa douleur profonde,
Le voudrait voir vivant.
Je n'ai point de richesse;
Mais mon con, n'est-ce rien?
Mes tétons et mes fesses
M'en procureront bien.
Une pine nerveuse,
Et deux couillons dodus,
Sont pour une fouteuse
Les trésors de Crésus.
Je veux, quoiqu'on en dise,
Foutre jusqu'au tombeau.
Mourir dans cette crise,
Est-il un sort plus beau!
Que sur ma tombe on grave,
Pour toute inscription:
Ici gît le plus brave
Et déterminé con.