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Voici mes seins, mon cul, ma coquille et mes hanches
Puis ce préservatif  lubrifié extra-doux.
Ne le déchire pas lorsque tu te l’emmanches
Et que ton dard si dur n’en devienne pas mou.

Je mouille toute ouverte et la vulve embrasée
Par la vue de ton gland jailli du ceinturon.
Tolère que ma lèvre en pompier évasée
Tète ce berlingot mieux qu’un cher biberon.

Sur ton chibre dressé chausse ma foufounette
Toute affolée déjà de trop vite imploser ;
Laisse-moi arrosée de ta bonne tempête
Et que tu dormes un peu si je t’ai épuisé.

 

Note : ce texte est un pastiche du poème Green de Verlaine

© Robert Vigneau
inédit - 2011