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Sur mademoiselle D.T.

Chaulieu

Phyllis, en baisant un moineau

Qu'elle aime à la folie,

 

Songe aux ardeurs du passereau,
A ce qu'on en publie.

 

Elle voudrait que ses galants
Fissent tout ainsi comme ;

 

Ou que, sans perdre ses talents,
Son moineau devint homme.
in Choix de Chansons Galantes d'Autrefois (Paul Marion, Ed. H. Daragon, 1911)