Conduire seul c'est dangereux
On pourrait au volant
Soudain fermer les yeux
Au risque d'avoir un accident
Alors que j'étais proche de ce cas
Je vis au bord de la route
Une silhouette qui sans nul doute
Me faisait signe du bras
Je m'arrête à sa hauteur
Et découvre avec bonheur
Une jeune femme, d'allure douce
Qui, tout sourire, me tend le pouce
Ses cheveux flottent dans la brise légère
Le cœur battant j'ouvre la portière
Elle arrache ses pieds à l'asphalte
Mais, marquant, soudain, une halte
N'engage que le visage dans l'habitacle...
Je la porterais volontiers au pinacle !
Avant que je lui fasse cet honneur
Elle me demande la destination
Pas pris de court, à la question
Je laisse parler mon cœur
Et lâche donc, sans opinion :
"Où il vous plaira ma sœur ! "
A-t-elle compris le message ?
Ce n'est qu'un passage...
Elle entre, prend place, souple, à mes cotés
Allonge ses jambes et laisse la jupe, relevée...
La créature semble si bien à son aise
Et darde sur moi son oeil de braise
J'ai l'impression, en passant la vitesse
De lui serrer le levier, entre les fesses
Après une bonne dizaine de kilomètres
À fantasmer sur mon hôte, bel autre
Qui dans son siège, langueur, se vautre
De mon désir, je ne suis plus maître...
Bientôt j'aperçois, après un virage
La ligne verte, d'un début de forêt
J'y stationne notre fumant équipage
À l'abri de tout regard indiscret
L'aventurière s'extirpe de la route
Et m'exhibe sans l'ombre d'un doute
Une lourde poitrine sur le radiateur
Et à l'arrière, un cul : bel extérieur !
Je bous, à l'intérieur...
Elle veut, sans conteste
Que je la foute et toute !
J'arrache fut, slip et veste
Pschiii... mon muscle phallique
Démarre direct au quart de tour
Ronronne de lui mettre ma trique
D'enjoliver son petit cul velours
Desservi tout chaud, attente sur le capot
Alors, j'entame la danse du piston, alto
Lui surchauffe l'huile moteur, ardeur
Jusqu'à plus de trois sangs à l'heure !
Argh ! Viens le temps que j'coule ma bielle
V'là qu'elle ruade, que son rythme s'accélère
Qu’elle klaxonne ; les seins, la chatte à l'air
Que mon foutre éclate et repeigne le ciel
Je pétarade à fond, bien au fond
Dans son coffre, volcan furibond
Mécanique vibrante, sans frein
Optique instinct
Vitesse supérieure
Qui laisse à nos sexes, sueurs
L'empreinte d'un sourire rieur :
Orgasme, mille chevaux vapeur !
On pourrait au volant
Soudain fermer les yeux
Au risque d'avoir un accident
Alors que j'étais proche de ce cas
Je vis au bord de la route
Une silhouette qui sans nul doute
Me faisait signe du bras
Je m'arrête à sa hauteur
Et découvre avec bonheur
Une jeune femme, d'allure douce
Qui, tout sourire, me tend le pouce
Ses cheveux flottent dans la brise légère
Le cœur battant j'ouvre la portière
Elle arrache ses pieds à l'asphalte
Mais, marquant, soudain, une halte
N'engage que le visage dans l'habitacle...
Je la porterais volontiers au pinacle !
Avant que je lui fasse cet honneur
Elle me demande la destination
Pas pris de court, à la question
Je laisse parler mon cœur
Et lâche donc, sans opinion :
"Où il vous plaira ma sœur ! "
A-t-elle compris le message ?
Ce n'est qu'un passage...
Elle entre, prend place, souple, à mes cotés
Allonge ses jambes et laisse la jupe, relevée...
La créature semble si bien à son aise
Et darde sur moi son oeil de braise
J'ai l'impression, en passant la vitesse
De lui serrer le levier, entre les fesses
Après une bonne dizaine de kilomètres
À fantasmer sur mon hôte, bel autre
Qui dans son siège, langueur, se vautre
De mon désir, je ne suis plus maître...
Bientôt j'aperçois, après un virage
La ligne verte, d'un début de forêt
J'y stationne notre fumant équipage
À l'abri de tout regard indiscret
L'aventurière s'extirpe de la route
Et m'exhibe sans l'ombre d'un doute
Une lourde poitrine sur le radiateur
Et à l'arrière, un cul : bel extérieur !
Je bous, à l'intérieur...
Elle veut, sans conteste
Que je la foute et toute !
J'arrache fut, slip et veste
Pschiii... mon muscle phallique
Démarre direct au quart de tour
Ronronne de lui mettre ma trique
D'enjoliver son petit cul velours
Desservi tout chaud, attente sur le capot
Alors, j'entame la danse du piston, alto
Lui surchauffe l'huile moteur, ardeur
Jusqu'à plus de trois sangs à l'heure !
Argh ! Viens le temps que j'coule ma bielle
V'là qu'elle ruade, que son rythme s'accélère
Qu’elle klaxonne ; les seins, la chatte à l'air
Que mon foutre éclate et repeigne le ciel
Je pétarade à fond, bien au fond
Dans son coffre, volcan furibond
Mécanique vibrante, sans frein
Optique instinct
Vitesse supérieure
Qui laisse à nos sexes, sueurs
L'empreinte d'un sourire rieur :
Orgasme, mille chevaux vapeur !