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Te vêtir... Ô le paradoxe
Quand au contraire je ne veux
Pour l'amour et sa tendre boxe
Que ta parure de cheveux

C'est en vain que tu dérobes
Sous tous les plis que tu voudras
A la plus belle de tes robes
J'aime mieux le pli de tes draps.

Ôte-moi donc vite la gêne
De la souple et nerveuse gaine.
© Paul Valéry
in Corona et Coronilla (éditions de Fallois, 2008) - p. 159