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Ma cousine Fanchon
A l'amour si rebelle,
Se chagrine, dit-on,
Du métier de Pucelle.
Flon, flon, flon...

 

Ouvrez un peu les Cuisses
Ma cousine Fanchon
Afin que mon vit puisse
Faire dans votre con
Flon, flon, flon...

 

Nulle honte ne touche
Ce mésirable flon
Qui crie à pleine bouche
Aux femmes vit et con
Flon, flon, flon...
-  Cité in La poésie érotique - Anthologie de Marcel Béalu (Ed. Seghers, 1974 - p. 140)