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Puisque tes yeux veulent mourir
Comme des reflets d’obsidienne
Quand tu sens mes ongles courir
Sur ta rougeur clitoridienne ;
 
Puisqu’au furtif chatouillement
Autour des mamelles dorées
Tu jouis douloureusement
Avec des plaintes effarées
 
Permets que j’aie aussi mon lot
Du rut lascif que ton goulot
Perdrait en vain sur les draps tièdes
 
Et que ma verge peu à peu
Moule ardemment la chair de feu
Du vagin sur ses formes raidies.
16 mars 91.