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Cauda valse
 
Je suis étendu mollement sur le lit
Dehors il fait chaud comme mon sexe
Dressé à l’entrée de ton nid
Eclairant de son feu ton playtex

Et je reste là, trouvant ton cul délicieux
Je voudrais pouvoir le baiser et le baiser encore
Tu te plies à mon gourdin ambitieux
Qui te travaille au milieu du corps

Mais c’est bientôt la fin
Des flots de foutre t’inondent
Toi dans ta grotte profonde

Là où j’ai semé l’humain
Où l’amour… déjà si lointain
Est sans doute sans lendemain
© Jacques Cauda