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À genoux devant ton connin...

Louis Gonzague Frick
À genoux devant ton connin
Je tire une langue lubrique ;
Elle connaît ce beau chemin
Ouvert à mes seules gymniques.

Elle pénètre avec délice
Et frotte ton ardent bouton,
J'aime habiter entre tes cuisses
Qui sont mon splendide donjon.

Pâme-toi dans ta nudité
Et jouis dans ma bouche heureuse
De boire, unique volupté,
Ta décharge si savoureuse.

Et ton mirely que veut-il ?
Mon doigt, ma langue, ma mentule,
Qu'il choisisse bien - c'est subtil -
Ah ! viens Amour que je t'encule.
© Louis Gonzague Frick
in Le calamiste alizé (1921)