Quand je vois tous ces culs, tant mâles que femelles,
Bêtement entassés dans un sale omnibus,
De leur point de départ jusques au terminus,
Chercher à tout propos des sujets de querelles ;

Quand je vois tous ces culs, avec leurs Gargamelles,
Hargneusement plisser leurs bouches en anus ;
Je voudrais, te donnant ma canne et mon gibus,
Te trousser d'un seul coup par dessus les mamelles ;

Et, piquant une tête en blasphémant les Dieux,
Aux bourgeois de Passy doublement odieux,
Te bouffer la moniche avec réjouissance,

Afin que la colère et que l'étonnement
Etranglent ces marauds dans le même moment,
Ou leur fassent péter la caboche et la panse !